Avec le facteur Cheval, Alphonse Gurlhie (1862-1944) faisait partie de cette petite famille de vrais illuminés, d'enchanteurs délirants.
"Des historiens voudront peut-être un jour le cataloguer, le ranger dans une boite ou dans un musée d'Art brut, mais je soupçonne Gurlhie d'avoir ancré ses totems dans sa terre ardéchoise, pour que personne ne s'avise de les déterrer un jour et de les transporter ailleurs" (Extrait de la préface de Yankel).